Les dangers de la surexposition aux écrans sont maintenant mieux compris et les messages d'alerte sont nombreux.

Il est important de ne pas diaboliser les écrans qui font partie de l'univers dans lequel nous vivons mais plutôt de les considérer comme des objets qu'il convient de maîtriser pour soi mais aussi pour ses enfants.

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Chez le tout petit et jusqu'à 3 ans les interactions réelles avec l'environnement et les parents sont essentielles au bon développement de l'enfant. Les écrans n'ont pas leur place dans le quotidien du bébé et du très jeune enfant malgré ce que veulent nous faire croire les vendeurs de jouets.

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Lorsque l'enfant grandit les choses changent et les questions deviennent alors plus complexes. 

L'approche de Serge Tisseron Psychiatre, dont l'expertise dans ce domaine n'est plus à démontrer, nous semble particulièrement intéressante notamment par l'aspect progressif qu'elle introduit. Il ne s'agit plus uniquement d'interdire mais aussi d'accompagner l'enfant dans la découverte de ces outils. 

Pour en savoir plus : https://www.3-6-9-12.org/

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Pour les écrans comme pour l'ensemble des attitudes éducatives il est important de conserver à l'esprit que les enfants sont davantage influencés par nos actes que par nos paroles.

La difficulté de gestion du temps d'exposition aux écrans est un motif de consultation fréquent car cela induit bien souvent des tensions au sein de la famille.